Devant le manoir

*Le baron Von kraus, se change rapidement et se dirige vers l'exterieur de son manoir. Le soleil cognait dur, malgrer le froid percant, ouvrant grand la bouche, il baille tel un hippopotame qui ouvre plus grand la bouche que sa machoire peut physiquement le faire. Tout en se degourdissant les jambes, il observe la nature environnante et baisse les yeux sur une petite plante sur le coté du manoir. Il s'approche et la saisie avec delicatesse*

-hooo, une fleur d'hybys, c'est une chance, elle devraient toute etre congelée a cette heure.

* Il la saisit et la mange résolument, sous le regard étonner de certains de ses hommes moins habitués a ses comportements surprenants. L'image du géant penché mangeant une minuscule petite fleur peut semblé asser surprenante, mais la petite goutte de sueur et la rougeur de la peau du baron qui sourit tres heureux les laisses sans voix*

-he bien, bande d'ignare! rares sont les hybys qui ne meurent pas des que la temperature chute d'un cran, c'est dailleur étrange, car c'est une plante épicée, qui rechauffe le corps... il faudra reussir a les croiser un jour...

*Tout en se parlant a lui meme il monte sur un minuscule cheval trapus, alors que plusieur grand cheveaux racé sont scellé pret a une promenade pour ses homme, puis s'élance dans un galops lourd et lent dans le champ. Le cheval semble habitué a son maitre, et malgrer son semblant de lenteur, l'Assurance avec laquelle il parcour le chemin que Herr kraus improvise et la facilité avec laquelle il lui fait traversé une minuscule planche fait sourire son maitre*

-he bien Freïa tu t'ammeliore? qui aurait crut que cette blessure a ta pate guerirait hein? dit le, j'attend!! aller!!

*il flatte l'encolure du cheval qui fume deja dans la fraicheur de la journée*

Sophia arriva d’un pas beaucoup plus vite qu’avant. Arriver devant l’énorme bête qui lui servait de cheval, elle alla attacher sa sacoche sur le dos de la monture. Puis elle mit un pied dans l’étrier et se poussa à la verticale pour s’assoire sur le dos puissant de l’animal. Puis elle saisit les reines et fit avancer maladroitement sa monture vers le seigneur.

- Pardonner moi si il est possible que je vous ralentisse mon seigneur. Mais cela fait belle lurette que je n’ai point remis le pied à l’étrier. Je ferais de mon mieux pour vous suivre.

Elle prit les reines à deux mains et se prépara à suivre le seigneur ou il irait, pour apprendre et pour le protéger. Car malgré qu’elle sache très bien sa faiblesse, elle ferait tout pour protéger son seigneur en cas d’attaque.

* Le seigneur Von Kraus rit d'un rire puissant et gras en désignant sophia, maladroite sur le cheval*

-HAHAHAHAHAHAHAHAHA, ne trouvez-vous pas qu'elle ressemble à une filette aux prises avec un démons??

*Il bascule, sur l'arriere quand il termine son rire, s'accote contre l'encolure de son cheval et d'un ton ferme fait remarquer a sophia*

-Jeune fille, il est innaceptable pour une fille d'une certaine noblesse de ne pas valoir un guerrier dans les terres du riam! Jespere que vous apprenez aussi vite que je le croit!

*Il fait pivoter son cheval qui commence a boiter legerement et marche tranquillement sur la route qui traverse ses terres, rapidement 1 homme va a plus de 30 metre devant et l'autre derriere vous, alors que 2 guerrier vous flanque chacun loin dans chacun des champs qui longent la route*

-premierement, passon ensemble les terres. Voyez la bas, l'immense montagne infranchissable? c'est la Montagne Jra'a, elle est infranchissable d'apres nos eclaireurs. Dernierement une troupe redcrats ont contourné la montagne pour nous attaquer par le vallon interieur, qui se trouve droit devant nous. Pouvez-vous me dire qu'elle fut leur erreur fatale?

*sa main désigne l'immense montagne qui couvre la partie ouest du territoire et descend en pente douce dans une plaine d'environ deux kilometre, puis se transforme de nouveau en colline vers les terres des autres baronnie*

Sophia se retint de contredire le seigneur car elle n’en avait pas le droit. Mais ce n’était pas parce qu’elle n’en avait jamais fait, mais plutôt parce qu’elle c’était consacrer sur ses études avant tout. Cela ne lui prit pas trop de temps avant qu’elle recommence à bien contrôler son destrier et elle l’emmena à coter du seigneur. Elle analysa ce qu’il venait de lui dire et découpa toute les éventuelles erreurs commises par l’ennemi.

- Ils ont fait une série d’erreur qui les ont conduit à leurs pertes. Premièrement leur déplacement était trop prévisible. C’était normal que si il ne pouvait traverser la montagne, il la contournerait. De deux, il sont rentrer dans notre territoires, ce territoire ou nos monture sont habituer au climat et nos hommes aussi, ce qui a dut sûrement avoir un effet dévastateur sur l’énergie des bête et sur le moral des hommes. Finalement nous somme née en ces terre et connaissons les moindre recoins. Alors leurs tendres une embuscade pour nous n’est pas difficile. Si il aurait vraiment voulu nous faire mal. Il aurait du se diviser en plus petit groupe. Sa aurait pût permettre de se mouvoir a notre insu et d’attaquer des point stratégique tout en se volatilisant par la suite sans laisser de trace.

-hahahaha!!

*herr Kraus, rit de satisfaction, il avait prévut la réponse de sophia, il laisse de nouveau planer sa main et commence lentement*

-tu est trop économe ma chere... pour gagner, il faut savoir donner. Si il s'agit de donner des vies humaines, il faut le faire. Les redcrats ne pouvaient pas prendre la chance de nous laisser faire une sortie. Mais, le plus intelligent aurait été de traverser les montagnes avec le gros de ses troupes. n'oublie jamais ce dicton :

-La ou une chevre peu passer, un humain peut passer

s'ils étaient une armée bien dirigé, une fois la traversée bien commencée, ils auraient du envoyer une escarmouche brulé le sud du comté. Que j'aie des doutes ou non, j'aurait été forcé de porter mes hommes a leur secour, je peut tout me permettre, sauf de perdre les recoltes que je possedait a l'époque, s'ils l'avaient fait, nous aurions deja perdu ce comté. et une fois une partie de mes troupes dans le sud, il aurait fallut lancer la moitié de ce qui lui restait d'homme m'affronter dans un face a face sanglant, puis se retraité pres des vallons la bas *il pointe la ou les collines reprenait* pour m'envoyer la seconde partie de ses troupes de combat qui m'auraient attendus de pied ferme. Par la suite, ses troupes montagnarde auraient pus déboucher dans le nord du pays et massacrer, homme, femme enfant, récolte, incendié le nord de mes terre et prendre la fuite vers le vallon, mes hommes qui se dirigeait vers le combat aurait-été forcé vers l'assaut, étant pris entre deux feux. Et la bataille sanglante m'aurait couté homme, femme et recoltes... et ils auraient conservé la province a cause des troubles créer

*Il regarde avec un regard insistant sophia*
-Je m'exprime peut-etre trop rapidement disont que l'on fait des combats de guerriers! et que tu peut choisir quel guerrier tu envoie contre les miens, sachant exactement lequel battait lequel. disont qu'il y a trois guerrier:

que j'envoie mon guerrier le plus fort en premier, mon plus faible en second, et le moyen en troisieme lequels enverra tu et dans quel ordre? ton plus fort, ton moyen et ton plus faible.

Sophia resta muette et baissa un peu la tête gêner de son erreur. Si elle aurait été à la place su seigneur elle aurait causé la p mort de centaine de gens. Par son erreur. Elle était mieux de rester dans son domaine, écouter. Elle resta silencieuse relevant la tête et écouta tout attentivement Puis quand il lui posa la question elle sembla devenir pensive un bon moment avant de parler. Elle voulait être sur de donner une réponse sensé. Puis elle se souvint de ce qu’il lui avait dit. Il fallait être prêt à donner pour être capable de gagner. Elle ouvrit la bouche lentement et se prépara a prononcer ce qu’elle penser.

- J’enverrai en premier mon plus faible pour affaiblir votre plus fort. Puis j’enverrai mon plus fort pour s’occuper du plus fort affaibli et ensuite du plus faible et affaiblir le moyen. Pour donner l’Avantage à mon dernier guerrier.

*herr von kraus rit de nouveau d'un rire gras puissant et sain*

-hahahahaha! Je croit ma chere, que ce qu'il y a de plus beau dans les terres du riam, c'est cette culture du rire! si un homme ne peut pas y arriver, meme devant la mort, c'est qu'il s'est perdu en cour de route et qu'il n'est plus lui-meme! Menfin! c'est une reponse presque exacte! je m'était mal exprimé mais vous en avez saisi le concept!

*il fait des grands moulinets des bras et parle tout en bougeant la tete alors qu'il explique toute l'utiliter de savoir sacrifier l'element le plus faible d'une armée afin de pouvoir gagner le 2/3 des autres combats, car a 2 contre 1, la victoire est assurée. Terminant son exposer, il devient soudainement tres serieux et fait signe a claudia d'approcher son cheval de lui*

-Je serait bref! il fait un temp magnifique non? Je suit satisfait de votre comprehension des strategie militaire, vous comprendrez mieux la mission que j'ai a vous confié, mais je vous en parlerai plus en détail arrivé chez mon pere. D'ici la, si nous observions les oiseaux? et n'oublier pas jeune fille! je ne dit jamais rien pour rien!

Sophia souris quand elle se fût dire qu’elle avait presque raison. Quand il le lui eut expliqué, elle hocha la tête. Ayant compris qu’elle ne pouvait en envoyer que un à la fois elle avait pas totalement réussi mais maintenant elle comprenait. Puis, quand il lui dit que se qu’il venait de lui demander était en lien avec la mission qu’il avait elle frissonna un peu. Elle espérait ne pas devoir décider de la vie ou de la mort des soldats. Ceci était un lourd fardeau et une haute responsabilité. Puis avant même qu’il lui eut demandé de regarder les oiseaux, elle leva la tête et regarda le ciel. Comment pourrait-elle faire un choix comme le sien. Les nouvelles parole du seigneur la sortirent lentement de ces pensées et elle commença a contemplé les oiseaux.

- N’ayez crainte mon seigneur, je serais toujours attentives a vos enseignements car ceux-ci sont d’une grande sagesse et il me sauveront sûrement la vie plus tard.

- c'est justement la ou je vais avoir plus raison que jamais. La sagesse ne vous sauvera la vie que si elle est utilisée au préalable! ne foncez jamais sans avoir réfléchis, et ne croyer pas vous en sortir apres être entrée chez vos ennemis.

*Il désigne les vautours qui planait loin a l'est et se dirigeait en cercle vers le nord*

-voit-tu, la vie attire la vie. ces oiseaux, meme si on les dit charognard son d'excellent indicateur. Ils te désigneront la ou il y a eu mort, s'il y a eu mort, il y a eu quelque chose. Un sage un jour nous a enseigner que si on recherchait la vie dans le désert, il suffisait de laisser son cheval aller, et il trouverai lui-meme le chemin de la vie. Serait-tu capable de laisser ta vie entre les mains d'un inconnus?

*il flatte affectueusement la bride de son cheval et descend de cheval, marchand a pied et le tirant par la bride*

-ce cheval est senser etre mort, il a recut 3 fleches dans le garot et j'ai dut le ramener moi-meme au manoir...

*il regarde l'animal affectueusement, et le cheval donne un coup de tete vers la gauche au loin, regardant par dessus l'épaule de son maitre. On pouvait voir un petit nuage de neige qui volait, surement des cavaliers, qui se précipitaient vers le nord*

Sophia sembla vraiment captiver par son enseignement. Utiliser les vautours comme signe de morts… elle n’y aurait jamais pensé. Oui bien sur que la sagesse, ne servait à rien si elle était utilisée par l’impatience. Ce laisser attiré par la vie, la laisser la guider où il y a la vie. Puis elle se mit à penser à ce que son seigneur venait de lui dire. Elle resta pensive longuement sans rien dire puis regarda son seigneur et parla de sa voix douce.

- C’est dur à dire, car si je me trompe je risquerai la mort. Je me dis que cela dépendrait de ce que mon cœur me dicte. Je crois que je laisserai mon instinct décider.

Elle garda son regard poser sur le seigneur. Ses yeux verts le scruter comme si elle tentait de trouver d’où venait cette sagesse qui l’habitait. Si au moins son frère aurait pu être là, elle savait qu’il aurait apprécié d’apprendre tout cela. Au loin l’on put entendre un cheval arriver au galop. Son cavalier était un homme au cheveux blond court et au yeux bleu clair Une grosse cicatrice passer par-dessus son sourcil.

- Mon frère arrive mon seigneur, je crois qu’il s’inquiète encore pour moi.

Le cavalier arriva en toute hâte, pratiquement coucher sur son cheval pour mieux couper le vent. Sa maîtrise du cheval sembler excellente et il arriva en toute hâte. Il se releva quand il se rapprocha et regarda les gardes puis le seigneur. Il attendit, en arrière en attendant de voir si le seigneur allait lui permettre d’avancer. Il resta un peu incliné, en marque de révérence et attendit. Il espérait tellement que sa sœur n’avait pas importuné le seigneur par ces désirs de soutenir tout le monde sans tenir compte de sa place. Elle agissait toujours de la sorte, toujours sans se soucier des conséquences que ces actes apporteraient, toujours entrain de s’occuper de ce qu’il ne la regardait pas. Il savait qu’un jour ce serait quelque chose qui la perdrait.

* Herr kraus regarde justin arriver. Il ne peut empecher un rire gras de satisfaction en regardant le jeune Lacroix soumis et obeissant. *

-hahahaha, autant votre soeur est rebelle comme un homme, haha, vous etes aussi doux qu'une femme hahahahaha.

*il se calme et appaise ses hommes tout en reprennant le dessus*

-Vous n'etes pas du pays, mais vous etes de digne fils du riam! *s'eclame-t-il avec fierté* l'une represente le futur, le reve, le desir et la curiosité. L'autre, le savoir faire, la noblesse, la prouesse, la fierté et le respect. Si j'avait eu le temp d'avoir des enfants, j'eu souhaiter vous avoir....

*Il tend la main vers justin et donne un leger coup de hance a son cheval qui reprend sa marche*
-Vous arrivez-a point, j'entretenait votre soeur des quelques exigeances de la guerre, certe de quoi vous ennuyer, mais nous devons tous commencer au debut si l'on veut arriver quelquepart. Dite moi au moin, que vous, vous avez pris le temp de prendre l'air et que vous avez apprecié cette terre...
*il fait un mouvement de la main la paume levée autour de lui avec un regard plein d'affection et de fierté dans les yeux*

Sophia fit un sourire au compliment du seigneur envers sa personne. Habituellement sa rébellion était mal vue par les hommes qui croyaient souvent que la place d’une femme était derrière les fourneaux, ou entrain de s’occuper des enfants, ou les deux. Elle, elle n’avait jamais accepté, son père avait bien eu beau lui présenter plusieurs hommes pour qu’elle se marie, mais elle usa toujours de la ruse pour faire fuir les prétendants. Bien sûr il arrivait qu’un de ceux-ci use oser lever la mais sur elle, mais son frère s’en était toujours mêler peu de temps après le faisant regretter amèrement à celui-ci. Justin avait toujours été la pour elle, malgré l’âge à laquelle il dut prendre en charge sa sœur, il fût un frère exemplaire. Il ne manquait jamais rien sur la table, même si il devait revendre des biens de la famille pour le faire. Il voulait se débarrasser du passer et il utiliser le passer pour permettre a Sophia de connaître l’avenir. Elle avait toujours adorer son grand frère pour sa. Car malgré qu’elle fût la raison de sa cicatrice et de sa haine envers leur père. Qu’en plus elle était la raison de la mort de leur mère. Il ne c’était jamais arrêter de s’occuper d’elle. Lentement elle se concentra sur le seigneur et écouta le reste de ses paroles. Puis elle répliqua aux dires du seigneur avec un petit sourire.

- Il ne faut jamais regretter le passer mais accueillir la chance du présent pour sourire dans le futur. Peut-être n’avait vous pas eu le temps d’avoir des enfants, mais depuis notre arrivé vous nous avez accueilli et éduquer. Pour moi vous êtes comme un père, mais au lieu d’être le sang qui coulent dans nos veine c’est un lien irréelle qui c’est tissé. Selon moi bien sur.

Justin écouta le seigneur parler et prit mal le premier de ces dires, mais il ne le montra pas aux yeux du seigneur. Mais quand il vint a commenter son comportement il sourit brièvement. Pour lui c’était un grand honneur de ce faire dire de tel compliments. Puis quand il dit qu’ils étaient des fiers fils du Riam, il ne pût s’empêcher un autre sourire. Puis de se faire dire qu’ils auraient aimés les avoirs comme enfants, il fit une grande révérence. Avant qu’il eut le temps de dire quoi que se soit sa soeur dit quelque chose qui selon lui était déplacé et il la regarda un peu mécontent. Son regard retourna sur le seigneur et il prit la parole.

-Vous nous honoré grandement mon seigneur. Mais nous ne méritons pas autant de reconnaissance. Nous sommes ceux qui vous doivent tout et nous vous serons éternellement reconnaissant.

*Le seigneur Kraus regarde le jeune lacroix du coin de l'oeil alors que celui sursaute involontairement en entendant sa soeur. Il sourit interieurement, il avait encore beaucoup de chose a decouvrir dans ce monde... et avant tout que c'était bel et bien un monde de femme...derriere chaque homme...aussi grand soit-il. Ses pensée vaguere quasi-instantanément a cette femme qu'il avait aimé, ce qui lui semblait etre une autre époque...une époque révolue de toute facon*

-tu serait fiere ma petite louve! *se dit-il a voix basse*

*reprenants ses esprit et son visage bienheureux, il lance son éternellement en mouvement main, vers l'Avant en criant*

-Aller, chez mes parents, ils nous attendent avec impatience... je n'espere de vous d'eux qu'une seule et unique chose

*il les regarde tour a tour*

-ne vous fiez jamais aux apparence...

*il accelere le pas et rattrape le cavalier qui devancait le groupe, discutant femme, boisson et autres choses avec lui, riant frequemment a la volée. Il était remarquable de voir chez les hommes du riam une immense propension a rire de tout et de rien, d'un rire gras et satisfait ou court et essoufler comme si le rire etait une expression en soi. Mais ils étaient toujour puissant et enjouait l'air ambiant.*
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