La chambre d'Elvyne

Après avoir acheter sa robe Elvyne retourna à sa chambre à la hâte débarrant sa porte et la barrant derrière elle pour se déshabiller lentement. Elle alla se nettoyer avec un peu d’eau et s’assurer que son pelage soit à son meilleur. Puis elle se blottit sans vêtement dans ses drap durant un instant le temps que ceux-ci ayant absorber l’eau. Quand cela fût fait, elle se releva doucement et mit avec précaution la robe qu’elle venait d’acheter. Puis quand elle eut fini de s’habiller elle s’assit sur son lit prenant un morceau de parchemin qu’elle avait sur sa table et se mit a écrire dans un dialecte incompréhensible. Son langage secret a elle et Félix. Puis après avoir fini de rédige cela elle alla joindre le parchemin aux autre cacher dans son oreiller. Puis cela fait, elle sortit de la chambre la barrant derrière elle

Selem avait aperçu du coin de l'oeil Elvyne monter à l'étage. Il soupira. Jetant un oeil sur les gens qui l'entourèrent, il répondit à leur questions avant de déclarer

- Il est tard mes amis. Le soleil devrait se montrer dans peu de temps. Vous tous qui avez familles et occupations devez quitter la rêverie et retourner à vos besognes. Je retourne à la mienne: demain je repartirai dans d'autres landes pour vous apporter de nouvelles histoires. La route m'appelle, puisse vos routes être emplies d'espoir et de bonheur.

Les gens l'applaudirent. Il se fraya un chemin entre les jeunes femmes presque accrochées à son cou. Bernard montait la garde dans les escalier, ne laissant personne d'autre que Selem monter.

Selem retira son chapeau. Se dirigeant vers sa chambre, il aperçut la porte de celle d'Elvyne entre ouverte. Il cogna doucement

- Elvyne?

Il regarda à l'intérieur, elle faisait la moue classique du "besoin d'attention". Il sourit en coin, entrant dans la pièce. Il alla s'asseoir sur le lit à son côté.

- Dit moi pourquoi tu es contrariée..

Elvyne se retourna vers Selem et le regarda un peu étonné, un petit sourrire sembla revenir puis elle se tourna à nouveau pour lui tourner le dos. Elle semblait ¼ triste ¼ heureuse et a ½ en colère. Elle resta de dos à lui quelque instant puis dit de sa voix qu’elle essayait de rendre plus dur sans y arriver.

- Tu as réussi à te soustraire de tes centaines d’admirateurs. C’est pratiquement un miracle.

Voyant que son ton n’était pas capable d’être dur avec lui elle y avait mit qu’une petit touche d’ironie pour le faire culpabiliser un peu. Pourquoi il semblait l’Avoir ignorer tout le long qu’il avait été en scène. Elle continua a regarder son mur se questionnant la dessus. Puis elle rajouta d’une voix extrêmement douce,triste et moyennement basse.

- Maintenant tu va disparaître et retourner faire le tour des terre je me trompe.

Selem sourit simplement, il la regardait se mouvoir

- Oui je vais repartir. Je n'ai pas d'attaches nulle part.. et je n'essaie pas de m'en créer. Je ne me suis jamais offert à aucune femme, et je n'ai plus de famille. C'est mon travail de voyager pour aider les gens. Je vais revenir, si je survis. La vie est pleine d'obstacles, c'est la le danger de voyager. Les guerres déchirent les terres, les hommes perdent l'espoir.

Il ferma les yeux réfléchissant quelques instants à ce qu'il pourrait dire pour la réconforter. Il ne trouva rien qui puisse l'aider : au fin fond de lui même, il avait travaillé fort sur la façon de repousser les femmes sans être brusque. Il avait souvent semé de faux espoirs malgré lui. Elvyne, elle, était spéciale. Quoi lui dire...?

Elvyne se retourna lentement vers lui et le regarda droit dans les yeux. Il pût voir pour l'une des première fois de la détresse dans son regard. Puis elle baissa un peu la tête et s'enroula totalement dans la couverte ne laissant sortir que sa tête. Puis son regard revint sur lui quelque instant. Elle avait tant le goût de tenter de le retenir, mais c'est sentiment pour Félix la retint. Puis soudainement une voix retentit dans sa tête. Est ce que Félix était entrain de lui parler, où est ce qu'elle le faisait parler elle même pour se dire quoi faire.

- Cesse de faire l'enfant Elvyne, rester enfermer, ici avec mon arc ne te rendra pas heureuse. Vie, cesse de te morfondre et vie. Car, pardonne moi ci cela peux te peiner, mais où je suis, j'ai retrouver mon épouse.

Evlyne fit un petit oui de la tête sans aucune raison apparente. Puis elle alla reporter son regard qui s'était gorger d'un peu de tristesse suite à la voix qu'elle avait entendu. Elle ferma les yeux lentement et se cacha le visage entier dans la couverte, sauf son museau qui dépassais.

- Si tu dois partir, par… je ne peux te retenir… mais je ne te demanderai qu'une chose. Va faire le spectacle chez le prince, tente de changer le cœur avide de ses être "SSSUUUPPPÉÉÉRRRIIIEEEUUURRR".

Elle mit beaucoup d'emphase sur son mot pour montrer comment elle les trouver pathétique. Mais, c'était eux qui détenait tout l'argent et les pauvres ont besoins de cet argent.

- Imagine combien de pièce tu pourrais te faire, ou quel marcher tu pourrais faire avec la dame qui est venu la dernière fois. Tu pourrais facilement aider les sans abris et les pauvres de cette ville. Leurs offrir un repas à tous, peut-être cela ne serait pas gros. Mais dans leurs vie d'affamé et de mendiant, il y aura eu une journée ou ils pourront dire, pour une fois … la chance nous a souris. Oui peut-être que le prince est un vrai monstre, mais si l'on veux que cela change, il faut endormir la soif du prince. Car si elle est endormie, il y aura surement moins de guerre.

Elle se releva lentement sortant de ses couverte et s'assit devant Selem sur le lit. Puis d'une geste lent et délicats, elle alla porter la mains sur son cœur à lui et écouta brièvement les battements de son cœurs. Se rassurant de sa présence ici, et que tout cela n'était pas un rêve.

- N'oublie jamais Selem, que Léon le magnifique est la. Mais que celui qui le rend ainsi se trouve juste devant moi. Et quand tu seras près à partir… vient au moins me dire aurevoir. Aussi non tu va devenir Leon le cadavérique.

Elle lui souris avec une grande douceur. Elle savait ce qu'elle allait faire. Félix lui avait dit de vivre alors elle vivra. Quand il partira elle le suivra, il y avait encore une chose qu'il lui fallait résoudre dans sa vie. Qui étaient ses parents, et pourquoi l'avaient ils abandonner. Sa mains resta sur le cœur de Félix.

Selem mit sa main sur celle d'Elvyne. Il avait les mains chaudes, ce qui la réconfortait davantage. D'un geste brusque qu'il savait qu'il allait regretter, il la tira vers lui, l'enlaçant.

- Elvyne..

Il prit de grandes respirations. Les battements de son coeur s'accéléraient

- Je ne ferai pas ce concert pour le Prince. Il y a quelques années, je me suis présenté face à la haute classe de cette ville, sous le commandement de Benoit Redcratsever. Il m'a invité pour faire de moi le bouffon de sa soirée. Les nobles n'ont rien compris à ma musique, ils se sont contentés de rire et de me huer. Cela ne changera pas.. a part le fait que Benoit a été assassiné et que Drazik a pris le pouvoir. Il est encore plus affreux que le dernier. Je ne ferai pas le plaisir à cette femme : après tout pour qui elle se prend?

Il lâcha Elvyne et se releva, ses mains devenues plus froides. Ce sujet l'avait contrarié.

- Je partirai demain matin après le déjeuner. Sur ce, dort bien petite.

Quand il l'enlaça Elvyne resta un peu surprise puis lentement elle ferma les yeux et alla appuyer son front contre son épaule. Elle était à la fois heureuse et honteuse. Elle c'était promis que Félix serait le seul pour qui son cœur bâterait, mais celui ci sembla vouloir s'extirper de sa poitrine tant il battait fort. Mais n'est ce pas Félix qui venait juste lui dire de vivre… peut-être avais t'il présager cela. Lentement elle se blottit un peu plus contre lui et murmura.

- Selem… tu lui ressemble … tellement…

Elle écouter deux chose à la fois, leur cœur à l'unisson et son passer avec les Redcratsever. Lentement, elle sentit ses mains devenir plus froide. Cela l'a rendit un peu triste car elle se doutait que se doux rêve allez prendre fin à présent. Doucement il la relâcha et se releva, trop contrarié pour continuer. Elle se releva à son tour et alla se placer de façon à le repousser sur le lit et alla s'assoire sur lui. Son regard semblait avoir une petite touche de dureté et son sourire habituelle s'était changer en mécontentement.

- ET PUIS !

Elle cria ces mots pour qu'il comprenne la colère qui l'habitaient en se moment. Lui qui disait vouloir la paix n'était pas près a affronter les raillerie pour aider ceux qui souffrent. Son public, ceux qui l'adorent, ceux qui malgré leur faible moyen venait payer pour le voir. Et maintenant par fierté, par orgueil il refusait de supporter quelque idiot.

- Qu'est ce que cela dérange qu'il se moque de ce que tu fais! Le peuple t'aime n'est ce pas eux qui compte. Si tu ferais se spectacle tu pourrais aider bien des gens et tu le sais ! Stupide orgueil de mâle. En te laissant abattre à cause de ce moment tu te prouve aussi sot qu'eux ! Oui c'est malheureux que les gens ne comprennes pas tes paroles si belle, mais ce n'est pas pour cela qu'il faut que tu abandonne ton public! Peut-être tes mots glisseront sur les cœur de pierre de bon nombre d'entre eux, mais d'autre seront toucher ! D'autre pourrait décider d'aider a arrêter ces souffrance, des conseiller pourrait s'opposer a des guerres. Le cœur des hommes et souvent froid, tu as la chance d'avoir un cœur qui réchauffe ceux des autres alors ne le laisse pas ce refroidir. Car les femmes qui t'entendront seront toucher et ce n'est pas parce que se sont des femmes qu'ils n'ont aucune façon de convaincre subtilement leur mari. Donc tu cesse tes enfantillage puis tu y va ! Pour le peuple, pour la paix et pour MOI !

Rapidement elle se tut devenant gêné de ce qu'elle venait de dire. Elle baissa doucement la tête n'osant pas affronter son regard de peur d'y voir de la haine ou du dégoût. Pourquoi avait elle dit cela, pourquoi à lui. Elle avait oui de l'importance pour Selem elle le savait, mais pas tant que sa elle en avais bien peur. Elle rabattit lentement ses oreilles et se tassa de par dessus lui pour s'assoire sur le lit juste a coté de Selem. Elle avait gaffer elle en avait bien peur.

Selem se leva. Il ne semblait pas avoir apprécier ce qu'Elvyne lui avait dité Il sortit de la pièce sans rien dire, refermant la porte derrière lui. "Non je ne me présenterai pas pour ces tueurs. Jamais.."

Il sortit d'une de ses poches un pendantif de bronze orné d'une pierre turquoise. Il le serra dans sa main avant de le glisser dans son cou. Il le serra contre son coeur avant d'entrer dans sa chambre.

Elvyne releva la tête quand il commença a partir et elle le regarda sans rien faire. Son cœur réclamait qu’elle le rattrape mais elle se retint. Cela ne servirait a rien. Elle avait parlé trop durement… pourquoi, elle ne le savait pas. Mais maintenant elle le regrettait. Elle se recoucha dans son lit et se mit à pleurer silencieusement. Pourquoi avait-elle trop parlé. Par deux de ces actions elle avait brisé deux moments de bonheur. Elle était idiote. Cela devait être le cas, elle pleura ainsi durant un moment puis elle essuya ses yeux et marcha lentement vers la porte de Selem cognant à sa porte. Elle avait la tête haute, mais le regard désolé.

Selem ne répondit pas. Tout ce qu'Elvyne put entendre est un certain remue ménage dans la chambre. L'auberge était silencieuse. Un vent frisquet traversa le corridor, longeant le sol.

À l'horizon, le soleil commençait tranquillement à se montrer, teintant les cieux d'un orangé parsemé de rose.

Elvyne s’assit devant la porte et resta la a regarder le plancher la tête basse et le regard triste. Elel avait l’air d’un enfant qui avait été puni et qui regrettait, plus pour avoir été puni que pour ce qu’il a fait. Elle se mit a parler de sa voix douce habituelle en espérant que Selem l’entendent.

- Pardonne moi Selem… j’ai dit des idiotie. J’aurais même pas dut revenir la dessus. Mon bût était loins d’être celui de te mettre en colère, ni encore moins de faire que tu m’ignore. J’ai simplement… écouter ce que je voulais écouter sans essayer de comprendre comemnt cela avait pu autant t’affecter. Si tu ne veux plus me parler je comprendrai. Mais sache… que sa ne voudra pas dire que je vais te laisser partir sans rien faire.

De la chambre, Elvyne pouvait entendre de la voix de Selem

- Que vas tu essayer de faire... ou plutot que vas tu pouvoir faire? Il n'y a rien que tu puisse faire pour m'arrêter. Tes propos si valeureux d'il y a quelques instants ne sont que des propos pour pousser les gens à se démener.. et toi dans tout ça? Tu reste quand même la pauvre petite Férian blottie dans ses couvertures à regretter ce que tu as fait. Au moins ait la décence d'avouer que ta spontanéité reste ton pire défaut.

La porte n'était pas vérouillée, elle s'en aperçu bien assez tot..

Elvyne serra fortement ses poings. Chacun de ses mots était comme un coup de poignard au cœur. Des larmes de colère coulèrent sur ses joues. Elle se releva d’un coup et ouvrit la porte pour regarder Selem. Elle ne tentait même pas de cacher sa haine ni sa tristesse. Son regard gris représenter en ce moment très bien le froid de l’acier. Elle marcha d’un pas rapide claquant la porte derrière elle et le foudroya du regard.

- Oui je suis spontanée et je ne le nierai pas. Mais tu veux savoir ce qu’elle te dit la petite Férian blottie dans ses couvertes ! Peut-être que je ne semble rien faire, mais moi à comparer à toi je ne peux presque rien faire ! Je suis a peine connue, oui je pourrais apporter un peu la joie mais que très peu a comparer a toi et je le sais ! Comme tu dit la seul chose que je fait c’est de pousser les autres a se démener. Mais qu’Est que tu veux que je fasse de plus ! Que je me présente au château et que je demande a parler à la dame qui est venu te voir pour lui proposer à la place a moi de m’occuper de sa a ta place ! Ce n’est pas d’Elvyne qu’ils veulent mais de Léon ! Elvyne personne n’en veut sûrement parce que comme tu dit elle est trop spontanée mais elle est comme sa et tu le sais ! Pis tu veux savoir pourquoi le pauvre petit chaton était enroulé dans ses couvertes malheureuses ! C’est que cela devait bien faire 2 ans qu’elle ne c’était pas senti aussi bien et que l’autre personne aussi semblait se sentir bien. Mais non chu juste une pauvre petite Férian ! Tu me traites même plus comme moi mais comme une race ! Puis c’est vrai, je ne peux rien faire pour te retenir tu sais pourquoi ! Parce que je n’ai jamais eu le goût de t’arrêter, mais toi c’est comme sa que tu la interpréter ! Quand je t’ai dit que je ne te laisserai pas partir comme sa c’est que j’avais le goût de t’accompagner !

Des larmes coulèrent tout le long qu’elle parlait et elle parlait entre ses dent serrer. Puis elle se retourna d’un coup et marcha lentement vers la porte de sortie semblant se calmer d’un coup et la tristesse semblant l’envahir totalement. Sa voix redevint douce mes triste.

- Mais… maintenant … je vois bien … que sa serait une erreur… qu’encore une fois… je m’étais fait des illusions.

Tout le long du discours, Selem était écrasé dans son fauteuil, la tête penchée vers l'arrière. Il ne réagit pas du tout aux propos d'Elvyne, mais après qu'elle eut fini, il se mit à rire d'un rire sarcastique. Il rit pendant un bon moment avant de relever la tête et la secouer

- J'ai dit non.. jamais je ne jouerai pour les nobles de Redcratsever.

Il ferma les yeux et les réouvrit aussitôt. À chaque fois il plissait les yeux, comme s'il essayait de chasser quelque chose de sa mémoire. Il ne regardait jamais Elvyne

- Va t'en.. sort d'ici..

Elle se retourna d’un coup et le regarda de nouveau en colère. Pourquoi la cherchait t’il a se point qu’avait-elle bien put faire pour attiser autant de mépris. Elle avait déclencher quelque que chose qu’elle n’aurait jamais eu le goût de déclencher.

- Tu es complètement tête de mule ! Je ne t’ai pas dit d’aller jouer pour eux. Tu ne veux pas alors ne le fais pas. J’ai fait tantôt l’erreur d’insister maintenant j’expliquer pourquoi j’avais insister!

Son ton baissa d’un coup elle pris de grande respiration pour se calmer et le regarda pendant un moment sans bouger malgré sa demande. Elle le fixa dans son fauteuil, elle n’avait le goût que de faire une chose, mais elle savait que cela ne ferait qu’empirer tout. Alors elle se retourna et commença à s’éloigner.

- J’ai tant espéré du battement de nos cœurs à l’unisson. Ce simple geste que tu as fait, mais qui ma rendu si heureuse. J’ai bien fait de me dire que ce devait être une sorte de rêve. Car c’était trop merveilleux pour durer.

Elle sortit de la chambre et descendit les marches avec lenteurs. Elle était passait du rêve au cauchemar. Elle était condamner a perdre tout ceux a qui elle commençait a tenir. Peut-être était-ce pour sa que ces parent l’avait abandonner.

Selem regarda la porte lorsqu'elle fut sortie. Il essaya de chasser les images terrible de sa tête. Il ne voulait pas s'attacher à Elvyne et le fait qu'elle insiste pour qu'il joue devant la noblesse de Redcratsever l'avait écoeuré. Elle ne savait pas ce qu'il avait vécu .. mais il lui avait dit. Elle ne l'imaginait surement pas.

Il continua d'emballer ses affaires rapidement etr s'habilla, prêt à repartir pour les terres éloignées. Enfilant son bagage sur son épaule, il laissa la chambre tel quel, quittant vers le premier plancher..

Elvyne entran en trombe dans sa chambre ouvrant sa porte rapidement et la referma. Puis elle se changea en tout hâte. Elle devait se dépécher, car elel se doutait qu'il ne l'attendrait pas indéfiniment. Après cette habiller, elle courru prendre ces arcs et les mis en bandouilère. Puis elle mit son carquois à sa ceinture. Par la suite elle plia la robe et l'Enroula dans un drap et la retra de force dans son carquois.Elle prendrait la peine de s'Acheter un sac quand il serait rendu à un autre endroit. Puis elle commenca à partir vers l'extérieur mais se souvint de ses parchemin et alla les cherchers. PUis elle prt un morceau de parchemins et écris dessus une lettres pour Lisanne et Gontrand. Elle regardit la lettre un peu triste, puis elle baissa un peu la tête. Il l'avait tant aider, et maintenant. Elle partait comme une voleuse. Avec une simple lettre pour dire aurevoir. Elle versa quelque larmes et l'es essuya rapidement pour dépser la lettre sur le comptoir et sortir 20 pièce de sa bourse et les mit à l'arrière dans les cuisines. Elle regarda les cuisine tristement, puis elle sortit à la course revenant auprès de Selem.