Dans la place Publique

Elvyne après être sortie de la chambre de Selem, était sorti de l'auberge d'un pas lent et gracieux et maintenant arpentait les rues de la place publique. Son esprit vaguait sur les paroles qu'avait dit Selem et sur ce qu'elle avait répondu et sur les derniers mots qu'il avait dit quand elle allait sortir. Évitant machinalement les obstacle grâce à son apprentissage de la chasse avec Félix. Puis elle se concentra sur la raison de sa venu ici. De un, elle devait trouver une robe de deuil, de deux, trouver quelqu'un qui pourrait la rafistolé. Pour lui laisser ses allures de deuil, mais la rendre un peu plus élégante pour son spectacle. Elle scruta les moindre marcher à la recherche de ce qu’il lui fallait pour le grand hommage qu’elle ferait a Félix.

Étalés sur les kiosques, une multitude de tissus vendus à la coupe, morceau de vêtements et autres accessoires de mode. La majorité offraient des vêtements ordinaires, pour la vie de tous les jours. Un vieil homme dans un coin un peu reculé du marché, pour sa part, vendait des robes plutot extravagantes. Noir, pourpre, rouge, turquoise .. que des teintes profondes. Il y avait plusieurs styles et modèles disponibles.
Une en particulier attira l'attention d'Elvyne : une robe noire, sans corset, au col carré, brodée aux ourlets de fil argent. La jupe n'Était pas ample mais avait ne fluidité telle qu'elle donnait l'impression d'être de l'eau. Les manches étaient faites de dentelle, le contraste avec le pelage blanc serait parfait. Le prix? 50 pièces..

Elvyne souris en voyant la robe. Mais quand elle vit le prix elle baissa la tête. Jamais elle n’aurait cette somme. Mais, peut-être qu’avec le contenue de la bourse elle serait capable d’emprutner la robe au marchand. Quand elle l‘ouvrit elle se mit a compter une pièce à la fois … 50 … 50 pièce. Le montant juste, comme si il savait ce qu’elle allait acheter. Avec un grand sourire elle tendit l’argent au marchand et prit la robe partant avec et retournant en direction de sa chambre.

Deux lourds paniers sous les hanches, Claudia avançait en direction du refuge. Les réparations allaient bon train, il ne resterait plus qu'à trouver suffisamment d'argent pour meubler l'endroit. Un charpentier était déjà à l'oeuvre, fabriquant des lits, tables et chaises. Il faudrait trouver un rembourreur pour finir le tout. Encore de l'argent à investir..
Elle investissait beaucoup et croyait fermement que le refuge serait prêt à temps grâce à l'aide de cette anonyme personnage. Cependant les choses seraient différentes.

Elle allait de marchands en marchands, achetant toutes sortes de choses : de la lingerie aux couverts, en passant par les produits de toilette. Malgré le poids des deux contenants, elle marcha parmis la foule, se dirigeant vers son domicile.