Travail dangereux,mal nourris et mal payer!

Un petit kiosque en bois pourris avait pris place a coté des quais.
Il était afficher sur un écriteau << Mousse demander >>
Un vieu etre sale et mal habier etait assis sur une chaise a 3 pattes dont la quatriere avait surment tomber a cause de l'usure.

Le vieu criait sans saisse "Angagez vous, la plus merveilleuse aventure vous attend''

En criant on pouvait clairement voir quil lui restait que deux dents.
Tout seux qui passerent pres de lui avaient une forte odeur de poisson qui leur venaient aux narines.

Sachant que le port est un endroit ou il est facile de passer innapercu, c'est l'un des lieu très prisé par Euphorie. Marchant à travers la foule, elle évite les courisers et salut d'un signe de tête tous les vendeurs de poisons. Elle est visiblement une habituée du coin. C'est d'un pas sur et lent qu'elle fait son chemin. Elle ne se dirige vers rien de spécifique, elle semble être dans un sommeil éveiller.

Après plus d'une heure de marche, elle a repéré certaines cibles potentielles qui semblent répondre aux critères de sélection : fortunés, sur d'eux-mêmes, insouciant de ce qui les entours et bien souvent très concentré à faire leurs ventes et achats. Le plus souvent il s'agit d'étrangers, de marchants d'esclaves et de grossistes.

Sayez, elle a choisie sa première victime : Un jeune homme qui marche la tête en l'air et qui semble faire des affaires comme si chacun lui devait la vie. Euphorie s'apprête agir quand soudain, du coin de l'oeil, un viel homme attire son attention :

Peut-être est-il vieu et sale, mais Euphorie ne le connait pas, et même un vieu et sale témoin, reste un témoin. Elle décide donc de suspendre temporairement ses activités pour aller voir qui il est. Elle s'approche de lui et a l'instant ou elle allait ouvrir la bouche le vieu lui cris aux oreilles:

Citation :

Angagez vous, la plus merveilleuse aventure vous attend'

Le vieille homme regarda la jeune dame.

"Hey toi, tu semble parfaite pour distraire léquipage ou encore tu me semble en bonne santé peut-etre pourais tu laver le pont!"

Il renifla dans un bruit atrocement dégoutant et cracha le tout au sol.

"Et pour toi ma mignone on peu meme te trouver un poste plus horizontal.
Pour la découverte des trésorts voila comment sa marche..."

Le marin se redressa fesant tomber sa vieille chaise usé a leau.

"Le capitaine prend la moitier et distribu le reste a l'équipage.Oh et de plus nous allons bientot lever lancre ver des terres inconu....menfin si il a une terre par ou nous allons"

Euphorie observa le vieu pendant quelques instants...

Et puis elle s'esclaffa d'un rire exagéré. Entre ses dents on pouvait entendre "Ahhh.... comme je déteste les hommes"

Enfin, elle lui répondit : "Oh, comme sa vous me voyez dans votre équipage, je n'aurais jamais cru qu'une personnage d'une telle classe pourrait être intéressé par moi."

Pendant un instant, Euphorie eut envie de prendre le vieu pour cible, mais après une rapide réflexion, elle abandonna le projet. Après tout, comment voler quelqu'un qui n'a rien.

Elle continua en disant : "Malheureusement, j'ai peur de ne pas avoir assez confiance en un bâteau qui serait aussi solide que cette chaisse"

En disant cela, elle pointa le petit morceau de bois qui flottait.

Bref, voyant que le personnage n'avais guerre l'aire menaçant pour ses affaires.. Elle salua de la main le vieu et repris sa marche vers le jeune homme aux aires hautaines.

Le jeune homme, bourse à la main, était suivi par deux autre qui semblaient être ses serviteurs. A chaque fois qu'il achetait, l'un d'eux prenait les paquets. L'air frais d'automne avait tôt fait de chasser l'odeur, mais le toucher seul était suffisant pour réveiller l'arôme maudit du poisson.
Il les fesait les uns après les autres, négociant tout. La grosseur d'une autre bourse accrochée à sa ceinture le faisait paraitre avide : il essayait de tout avoir à un prix ridicule. De plus il s'exclamait tout haut "Vos prix sont ridicule!" ou encore "Franchement, vous croyez qu'on paiera un tel prix?".

La foule devenait plus dense à toutes les secondes. L'éveil du peuple, le début des activités matinales, les premières réceptions de vivres par bateau. D'autre marchands ouvrirent leur étal, chacun avec un inventaire différent. Quelques fabricants de cordage de bateau s'installèrent pour commencer à tisser devant les gens impressionnés par leur art.

Se glissant dans la foule aussi subtilment que le vent sur une plaine, Euphorie se rapprochait du jeune homme. Plus elle le regardait faire des affaires, plus une sorte de colère montait en elle : il lui rappellait son ancien maître qui n'avait absolument aucun coeur. Visiblement, il abusait de son pouvoir de richesse et en profitait pour laisser les marchants avec qui il fesait affaire encore plus pauvre qu'avant. Elle se devait de ne pas manquer son coup, elle le devait a tout ces tristes marchants.
Alors qu'il venait tout juste de terminer une autre de ses escroqueries, Euphorie passa à l'acte :

La tête plutôt basse, faintant d'avoir l'aire distraire, elle rentra maladroitement en collision avec l'un des deux serviteurs qui avait les bras pleins de paquets. En l'espace d'un instant, Euphorie et le serviteur était à terre. Le temps que les paquets tombent au sol, Euphorie simula un petit cri qui laissait entendre qu'elle pouvait être blessée. Bref, une comédie assez grande pour attirer l'attention de l'homme, mais pas assez spectaculaire pour congeler toute la foule.

Jusqu'ici, son plan se déroulait parfaitement. La suite dépendait du petit "prince du jour".

Comme prévu, le serviteur chuta, répandant sa charge de poissons emballés un peu partout sur le sol. Certains paquets s'ouvrirent, laissant s'échapper les bestioles gluantes. La foule recula de quelques pas en voyant l'homme chuter, préférant ne rien avoir à faire dans cette situation.
Le noble se retourna. Il aperçu son serviteur et la jeune femme sur le sol. Il se mit a grogner

- Mes poissons espèce d'abruti! Tu sais combien tout cela coûte! Quelle incompétence! Ramasse tout ça et en vitesse! Je ne tolèrerai pas qu'une telle bévue soit commise en ma noble présence!

Il fixa la jeune Sandon avec le même air cruel.

- Vous devriez avoir honte jeune personne! Regardez où vous allez nom de Dieu!

Il se dirigea vers un autre étal, laissant son serviteur ramasser son dégat par terre. Une poissonnière bien corpulente de l'étal d'à coté aida la jeune femme à se relever. Elle se mit à crier

- Z'avez pas honte? Laisser une jeune femme blessée par terre! Vous mériteriez mon pied au cul!

*Rikimaru qui passait par la regarde la scene d'un oeil amusé. Son coeur ne pouvant supporter la vue d'une jeune femme bafouée et ignorée sur le plancher, il réagit avec une violence suprenant, mais plutot calme..comparée a sa nature habituelle.*

-Escusez-moi, monseigneur

*Il lui tape gentiment l'épaule, puis aussi soudainement que frappe le tonerre, il l'attrape par la gorge et le plante dans le poteau soutenant l'étal*

-Vous avez-malencontrueusement oublié toute les vertues enseignées, aussi me doit-je de vous les rapeller gentiment a la lueur du fer!

*Il le soutient en l'air alors que l'étal s'abat sur la tete du noble*

j'Ai une meilleure iddée, je vais vous laissé a cette jolie poissonniere, elle va vous enseigné un peu le monde.

*Ce disant, il fait rouler le noble comme une guenille vers l'étal de la poissoniere et se retourne vers la foule, se préparant a ceuillir d'un violent coup, quicquoncque oserait faire un pas de protestation*

Pendant un moment, c'est-à-dire lorsque le jeune homme fuyait la scène, Euphorie fut déçue, croyant que son plan était malheureusement tombé à l'eau. Cependant, elle fut touché par l'aide apportée par la poissionnière qu'elle ne connaisait que de souvenir d'image. Pour Euphorie, c'était une preuve qu'en ce monde il y existait encore le bien et que la vie méritait d'être vécue, ne serait-ce que pour rencontrer ces portes-paroles de la bonté même.


Par contre, à l'arrivée de l'homme à la carrure impressionante et au regard de braise, un homme qui semblait paradoxalle, un mélange insolite, quelque part entre raison et inconréhence, entre contrôle et rage, son plan eut un second souflle. Peut-être allait-elle pouvoir retirer un salaire de ses efforts, mais bon, le plus dur restait encore à faire. De plus, l'idée qu'elle avait d'être aidée par un homme ne lui plaisais pas énormément, mais bon, peut-être pouvait-elle faire une exception pour celui-ci.

Observant la scène avec tous ses sens diponibles, elle hésitait à se relever immédiatement, elle voulait voir ce que ferait le jeune homme. Toutefois, s'appercevant de l'agressivité étonnante du héro de la situation et encore pire, de la poissonnière, elle décida de commencer a se relever avec l'aide de la dame. Simuler une blessure à la jambe pourrait plus tard être dans son intérêt.

"Merci bien M'dam" dit-elle.

La foule s'éloigna. Des cris se firent entendre lorsque Tiji souleva le noble dans les air, détruisant ainsi l'étal d'un poissonnier. Les deux serviteur essayaient de dégager leur maitre de l'assault de Tiji mais en vain. Lorsqu'il le lança, ils le recueillirent, éloignant la poissonnière pour éviter d'éventuelles représailles de sa part.
Des gardes furent dépêchés sur les lieux, observant la scène. Trois hommes dont un gradé aux couleurs de la cité s'approchèrent de l'endroit, ils écartèrent la foule.

Le noble se mit à crier à l'outrage, se promettant de se venger de cet affront. Il partit accompagné de ses serviteurs. Les gardes l'arrêtèrent, le sommant de le suivre jusqu'au poste de garde le plus proche. Après plusieurs refus, le gradé lui même exigea sa disposition. Le noble finit par dire qu'il a été assaillit par la jeune femme assise par terre. Il finit par partir
Il s'avança ensuite vers la jeune femme

- Dites nous ce qui s'est passé.

L'un d'eux mit la main sur l'épaule de Tiji

- Monsieur veuillez nous suivre.

*Tiji Secoue lentement la tête et il tasse la main du garde d'une bonne torsion du pouce, se retenant a la limite de le lui arracher*

-Tout etre humain qui entre en contact avec mon corps en subit un chatiment d'une violence exemplaire... ne reccomence pas ou elle disparaitra a jamais

*Tiji pose une main assurée sur la garde de son katana et de deux bon, bien rapide et souple, il se place sur l'étal abîmée, une main sur son katana, l'autre en l'air en signe de paix et fait face aux gardes avec son corps de fauve pret a bondir*

-Paix! Paix, jeunes gens... Je suit Samouraï, de l'Est, et un voeu m'interdit de laisser les gens souffrir, etre battut et ignoré. J'ai accomplis mon devoir, je n'ai aucune peur a vous accompagner, mais, ce meme honneur m'oblige a décapité cet energumene...ce que je ne ferai pas par respect pour vos lois idiote et vide de sens... tenez en compte...

*Il abaisse la main qui était en l'air, mais son autre main reste sur son katana et sa nouvelle position lui donne un air encore plus meurtrier*
+sixieme sens (detect danger)+

Étonnée par l'escalade incroyable du ridicule de la situation, Euphorie eu peine a cacher un sourire : Elle voulait attirer l'atention certes, mais pas de la cité en entier. Visiblement, son plan était tombé à l'eau par la faute même de celui qui aurait pu lui redonner vie.

Mais bon, se dit-elle, pour avoir démontré un minimum de galantrie envers elle, Euphorie lui devait bien de désarmorcée la situation. Une fois remise sur pied, elle se mise a mi-chemin entre les gardes et le Samouraï, puis, en s'adressant au gradé elle dit :

"Il n'est guère nécesasaire de faire de ce port un champ de bataille pour une simpe jeune dame qui a maladroitement tribuchée. Tout ceci n'est qu'un malentendu..."

Et puis, comme elle voulait s'adreser a tous, elle lacha un regard à l'homme qui était prêt à rentrer en guerre contre toute une armée :

"Croyez-moi, en cette journée humide, la chaleur de vos fourreaux est très appréciée par vos lâmes. "

Euphorie marcha en ligne droite vers la poissonière et lui dit :

"Tenez, désolé pour votre étalage, prenez ceci en guise de compensation."

Elle lui remis une petite bourse et quitta la scène d'un pas calme et régulier.

Le gradé s'approcha de Tiji

- Vous êtes à Redcratsever ici, Samourai. Nous vous demandons de respecter les lois de la cité. Cet étal a été détruit, si vous voulez une suggestion, ou bien vous dédommagez cet étalier ou vous devrez être détenu le temps de payer les dommages en temps. C'est votre choix.

Il attendit sa réponse, se tenant bien droit et à son poste. Les autres gardes s'affairèrent aux gens autour. L'un d'eux s'occupa d'Euphorie

- Vous n'êtes pas blessée madame? Laissez nous vous emmener au guérisseur le plus proche...

*Tiji regarde le gradé avec dedain, sa main lache imperceptiblement le sabre, s'éloignant a peine d'un pousse de son fourreau, il la garde en lair prete a dégainer et saute en bas de l'étal, c'est avec une voix courtoise, froide et cassante qu'il repond au gradé devant lui*

-Mon honneur, m'interdit un tel crime. Accepteriez vous si vous étiez chez moi de vous trainer le visage dans la poussiere a chaque fois que vous me croiserez et croiserez un homme de ma caste? J'espere pour vous que non, et si ce n'est pas le cas, je n'ait aucun respect pour vous. Comprenez, que l'orsque vous écraser une mouche, vous ne l'écraser pas dans votre main! Cependant, je peut payer cette jeune dame, et elle fera bien ce qu'elle en voudra!

*Il s'aisit de l'autre main sa bourse qu'il lance au pied de la jeune dame (10 tauros). Puis, il termine d'un ton cassant ayant perdu toute forme de politesse, inclinant malgrer tout la tete, il semble se soumettre sans relacher son esprit combatif.*

-Si la prochaine fois, je lui tranche ce qui deviendra son inutile petite protuberance, sans déranger le peuple y aura-t-il autant de probleme?

Le Gradé sembla satisfait lorsque Tiji lança la bourse. Il acquiesca au geste, satisfait

- Votre geste est noble monseigneur.

Les deux autres gardes se retirèrent. La foule se dissipa. Le gradé répondit à la question de Tiji

- Si vous désirez trancher un être vivant de votre sabre, faites le hors de la ville. Avoir une langue tranchante n'est pas un crime, monsieur.. Que ce soit une question de déshonneur ou non, nous vous demandons simplement de porter vos querelles à l'extérieur des murs de la cité. À cet endroit, personne ne pourra vous empêcher de faire quoi que ce soit. Nous vivons dans deux landes différentes, nous faisons pas d'exceptions.

Il gradé salua poliement Tiji, repartant à sa tournée.
Les étaliers aidèrent la poissonnière à ramasser les débris et les vivres perdus dans cet intermède.

*Tiji sourit interieurement, pauvre imbecile, et si je te fesait croire en plus que je suit un chat qui se prend pour un dieu humain?, il détourne son attention du garde, les rumeurs les déclaraient imbéciles et simplet, mais il avait douter qu'ils étaient réellement de fiéfé pédéraste. Retournant son attention sur le noble qui s'éloignait a grand fracas, son gout du sang reprend le dessus. Ses démon intérieurs se tendent dans un meme effort et ne souffre aucune difficultée a convaincre l'assassin*

-défonce le, démolis le... son sang doit abreuver le sol. Sa vanité devra lui couté de s'être mis en travers de ta route...

*ho oui, tuer, arracher, décapiter, trancher, torturer, tous des mots qui appelaient son coeur, réveillait ses instinc animals... ho oui, le coté animal de sa personalité était certe sa meilleure partie! Il se glisse rapidement hors de la foule et se dirige d'un pas énergique dans la meme direction que le noble avait pris, ses intentions étaient aussi claire pour lui que pour nimporte qui aurait pris un instant de réflexion.*