Les ruelles

Comme dans toutes les bonnes cités, les ruelles sont des endroits moins fréquentable. Les gens les évite, préférant la clarté des chemin principaux. Même le jour, certaines sont aussi noires que la nuit. Les légendes urbaines laissent croire que les bandits ont même érigé leur quartier général sous les yeux des autorités sans qu'ils s'en aperçoivent.

Il faut savoir à quelle porte cogner lorsqu'on recherche quelque chose si on ne veut pas passer au garrot..

C'était la fin de l'après-midi et pourtant, la foule sur la rue principale était encore très dense. Après tout, tant qu'il y aurait de la lumière sur la ville... les fourmis s'y promèneraient.

Euphorie quant-à elle s'enfonçcait peu à peu dans les entrailles de la ville. Au fur et à mesure qu'elle passait les rues, ces-dernières devenaient de plus en plus petites et incongrues. Et oui, la ville avalait Euphorie et toute personne normalement constituer aurait su qu'il était temps de tourner les talons.

Euphorie quant à elle, avait vécue toute sa vie dans ce sentiment d'insécurité et de noirceure. Marcher en sachant qu'en permanence une âme noire la regarde, marcher dans un endroit ou une identité peut être effacer sans que nul n'en prenne note, en sachant qu'a tout moment elle aurait pu se faire attaquer. Bref.... Euphorie n'avait pas froid au yeux et marchait d'un pas ferme et lent vers sa destination :

Selon ses souvenirs.... il s'agissait d'une grande bâtimsse qui hébergeait quelque part entre 15 et 20 petits appartements qui servaient pour la plupart de cachette au vice. Un de ses logements était occupé par l'homme qu'elle recherchait, un faussair profossoniel avec qui elle avait déja faite affaire... si l'on peut dire ainsi...

Enfin, Euphorie était vraiment courageuse et intrépide de s'aventurer sur de tels sentiers du mal pour de simple pierrre.... Après tout, peut-être était-elle tout simplement stupide.

Dans la mémoire d'Euphorie, elle se rappella que la porte menant à cet endroit portait un glyphe bien particulier gravé à un endroit que le plus commun des individu ne pourrait remarquer. C'était en partie ainsi que se distinguait des autres les membres de ce qu'on appellait dans le Largo la "Familia". En faire partie est un grand honneur, mais surtout une tâche ardue.
Les chemins sinueux zigzagaient derrière les bâtisses comme des serpents dans l'herbe : il était difficile même pour elle de retrouver son chemin. Un homme était assis sur un baril, accoté contre un mur de brique, les vêtements en lambeaux, un sourire aux lèvres. Il suivit Euphorie des yeux, main tendue, comme s'il attendait qu'on y dépose quelque chose.

Alors qu'Euphorie était de moins en moins de son chemin, elle appercevit un viel homme, mal vêtu, apparamant mal nourri, avec une hygiène des plus discutable....probablement un autre mandiant. Euphorie connaissait bien ces gens, leur mode de vie et leur facon de penser. Et pour cause, elle avait, pendant de nombreuses années fait partie d'eux. Après la mort de son père, elle n'eut d'autre choix que d'aller dans la rue, toutefois, c'est libre qu'elle y allait. Elle s'était join à la plus grande famille existante sans nom : les sans-abris.

Malgré sa haine envers tous les hommes, quels qu'ils soient, le lien de fraternité qui existait entre elle et ce visible membre de sa famille d'accueil, elle se devait d'au moins participer a son mieux être.

Pendant quelques secondes, elle hésita, et poursuivis son chemin : "Quand même, pensait-elle, s'arrêter ne serais-ce qu'une demie-minute en cet endroit lugubre augmente encore le danger potentiel...."

Et plus soudain, sortant de sa réflexion rapide, elle s'arrêta, chercha l'espace d'un instant sa bourse dans ses poches....

"Oh...c'est vrai, je n'est plus une pièce a donner"



"Clap clap clap.....pensa-t'elle"...

Euphorie n'avait même pas de quoi se nourir elle même et elle voulait aider un viel homme... Ayant peur qu'un arrêt-repart dévoile son incertitude de sa destination, elle vira les talons, se dirigea vers l'homme et lui montra l'intérieur de ses poches vide.(sans montrer ses poches cachés) Elle dit d'un ton sincère, qu'elle était désolé, mais qu'elle ne pouvait offrir ce qu'elle n,avait pas... puis reprise sa route d'un pas rapide.

À la dernière seconde, alors que les pierres que contenaient sa cape martelais sa cuisse au rythme de ses pas rapide, elle changea a nouveau de décision retourna porté dans la main du viel homme 2 pierres choisi au hasard.

"Peut-être allez-vous en tirez quelque chose, et si oui, et bien vous ferez probablement meilleure utilité que moi"

Le vieil homme se redressa, regardant les pierres unes par unes. Il les leva au ciel, regardant au travers. Il les croqua chacune leur tour, avant de tendre la main à Euphorie pour les lui remettre.

Il lui dit

- Suivez le chemin droit devant vous. Cherchez le glyphe de la louve.

Il se remit dans sa position initiale.

Alors que l'esprit d'Euphorie se demandait comment le viel homme avait fait pour savoir ou elle allait, son instinct la ramena a l'ordre. Elle se remise en marche en suivant le chemin conseillé par l'homme.


Après quelques minutes de marche, une grande bâtisse se dressa devant elle, comme dans ses souvenirs. Devant l'une des divisions de ce bâtiment, deux grands gardes se tenaient bien droits, l'air d'observer les mouvements de tous et chacuns. Au dessu de leur tête, une petite pancarte en bois branlait au vent. Sur celle-ci, une louve avait était graver. C'était bel et bien le bon endroit.

Du petit fausair de bas étage qu'il était, il avait bien évoluer semblait-il.
Euphorie s'avanca vers les deux hommes, et leur dit d'une voix froide et directe :

"Dites-lui que les deux yeux rouges qu'il connait sont là."

Alors qu'un des garde restait avec Euphorie, le deuxième pénétra a l'intérieur pour annoncer l'arrivé d'une dame aux yeux rouges. Alors qu'Euphorie attendais, un homme visiblement sou, la prenant pour une fille de joie, venu la courtiser. D'un geste rapide elle...

"BANG, avant même qu'elle ne fasse quoique ce soit, l'incconu qui lui fesait des avances fut frappé par un corps qui traversa une des fenêtre du batiment. Les deux hommes aux sols s'enfuyèrent a toute vitesse, sans même qu'Euphorie le garde n'eut le temps de comprendre...

Après quelques instants, un homme aux allures plutot chétives apparu devant la porte ; Avec une voix rapide et entrecoupé de pause, il béguaya :

"Eu... Eu....Euphorie, que fais-tu ici?!?! tu, tu m'en veux toujours? je, je, je te préviens la... si jamais, jamais, tu me veux du mal, tu devra passer sur plusieurs personnes! Je suis désolé de t'avoir fait sa, mais, mais, mais ce sont les affaires, et pour survivre il faut parfois faire des sacrifices, désolé que sa ait tombé sur ma partenaire, mais ce,ce, ce, ce n'était pas de ma faute... peu importe ce que tu crois, j'ai toujours voulu te garder dans l'affaire et jamais j'aurais voulu te trahir..... .. .. " L'homme reste reculer derière les 2 hommes, attendant une réaction assez violente de la pars d'Euphorie.

Après un long moment de silence, Euphorie s'avanca et dit :

"C'est bon, j'ai mis cette vielle histoire de côté pour l'instant, Par contre, j'ai besoin de tes services, sa ne devrait pas prendre beaucoup de temps, mais cela me sera utile."

Elle met la main dans une des poches intérieur de sa cape et en resort une pierre. La présentant a son interlocuteur, elle affirma :

"Dis moi ce que s'est, et combien sa vaut, disons que je l'ai recu en héritage...."

Elle remis la pierre dans sa poche et s'exclama :

"Mais bon... si je me souviens bien, tu n'aimais pas beaucoup beaucoup faire des affaires au beau millieu de la rue... Au fait, tu as l'air d'avoir su te débrouiller pas mal avec ce que la vie t'a ammener..."